Sécuriser les données de l’imagerie médicale
Sécuriser les données de l’imagerie médicale
Centre d’imagerie médicale à la pointe de la technologie, l’institut de radiologie de Neuchâtel (IRN) effectue toute la palette de diagnostics par imagerie comme les IRM, mammographies, radiologie classique, imagerie médicale et CT. Installé au centre de Neuchâtel, l’IRN dispose depuis peu d’un second site à Gampelen (BE), à une dizaine de kilomètre de son siège.
Veille sur les installations du client
Utilisant des technologies pointues, notamment des applications client très particulières, l’IRN exige de ses installations informatiques un fonctionnement irréprochable. C’est pourquoi il a sous-traité la gestion de ses systèmes à UDITIS. La société assure ainsi une veille constante sur les installations tant physiques que logicielles de l’IRN.
« Nous avons mis en place un monitoring complet qui nous permet d’avoir une vision globale du système et d’en anticiper d’éventuels problèmes », explique Vincent Grandchamp, technical account manager en charge de la coordination des actions chez ce client.
Le support de toute une équipe
D’autre part, UDITIS assure pour l’IRN le support à tous niveaux. Elle répond notamment aux demandes en lien avec des incidents éventuels, mais aussi relatives à des services en particulier, ceci dans des horaires cadre définis avec l’institut de radiologie.
« Le client bénéficie des compétences des collaborateurs qui s’occupent directement de lui, mais pas seulement. Il peut disposer aussi des compétences de toute la société UDITIS qui se trouve en arrière-plan. Jamais il ne pourrait mettre en place tout cela à l’interne. C’est notre force à nous ». relève Vincent Granchamp.
Redondance informatique sur les deux sites
UDITIS est aussi chargée d’accompagner la vision d’avenir de son client IRN. Celui-ci est obligé, par exemple, de garantir une durée d’archivage de 10 ans sur ses fichiers. La sécurité de ses données doit donc être absolue. Dès lors, UDITIS planche sur un projet de redondance informatique entre les deux sites principaux de l’IRN.
Comme l’explique Vincent Grandchamp, « nous devons rendre la totalité du système de l’institut re-démarrable très rapidement et avec le moins de pertes possibles depuis un seul site en cas de dégât total sur l’autre».